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Tag: humus

Eau. Agriculture. Biodiversité. Santé.  » Les pires concentrations de pesticides… »

Eau. Agriculture. Biodiversité. Santé.  » Les pires concentrations de pesticides… »

« Les pires concentrations de pesticides en Suisse devaient rester secrètes »

Extrait de « Le Matin Dimanche » (Genève, Suisse) du 9 février 2020

UN VERITABLE SCANDALE DANS UN PAYS DEMOCRATIQUE !
CONSTITUTIONS (CONFEDERATION ET CANTONS) OUBLIEES ?
QUID DES RESPONSABILITES DES ADMINISTRATIONS, DES PARLEMENTS ?
A QUAND DE NOUVELLES DECOUVERTES SCABREUSES DE CE GENRE, DITES « DEFAILLANCES » ? ?

Photo de Santé magazine

Extraits de l’article de « Le Matin dimanche » du 9 février 2020 :

  • « Les chiffres montrent une accumulation 25 fois plus élevée que la norme légale. »
  • « L’OFEV ne voulait rien publier, les communes étaient dans le flou. »
  • « Les mesures effectuées dans 31 communes entre Genève et le lac de Constance ont permis de détecter des résidus de chlorothalonil dans les eaux souterraines. »
  • « (… ) Dans la commune de Fischbach (canton de Lucerne), les mesures relèvent des concentrations douze fois trop élevées. »
  • « Je suis surpris de n’avoir jamais été informé par la Confédération, s’étonne Ivo Häfliger,conseiller communal responsable de l’eau. »
  • « La commune de Vully-Les-Lacs, située entre les lacs de Neuchâtel et de Morat détient un triste record  : son captage de Montmagny est l’enfer suisse question chlorothalonil. L’EAWAG a détecté une concentration 27 fois trop élevée. « Nous n’avons jamais entendu parler de cette mesure, déclare Blaise Clerc, président de Vully-les-Lacs. »
  • « La localité de Trüllikon, située dans le vignoble zurichois, fait aussi partie des communes les plus touchées, la concentration de R471811 dépasse 18 fois la norme. Les habitants l’ont appris l’an dernier. Il a fallu fermer en septembre une de ses trois sources. »
  • « Plusieurs responsables de l’eau potable dans les communes suisses tremblent, même si le chlorothalonil a été interdit en décembre dernier. »
  • Journalistes : MISCHA AEBI, DENIS VON BURG
  • Voir article précédent, complémentaire, sur cette question dans Le Matin Dimanche du 15 septembre 2019

 

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Commentaires de Bernard K. Martin

Outre l’empoisonnement des sols, eaux, air, consommateurs, les nuisances à la biodiversité globale sont importantes.

Gardons à l’esprit que la plupart des pesticides altèrent notamment les microorganismes, les invertébrés et l’humus des terres, entraînant la transformation de l’HUMUS (matières organiques) en CO2, accroissant les modifications du CLIMAT.

L’agriculture biologique, techniques agro-écologique, démontrent des preuves d’efficacité et de réussite depuis une quarantaine d’années. Elles permettent de sortir des pesticides de synthèse (et des engrais « chimiques » solubles). Ces substances de synthèse constituent une gigantesque catastrophe mondiale !

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Informations complémentaires :

Association Pro Natura :
https://www.pronatura.ch/fr/il-faut-sattaquer-des-present-la-crise-du-climat-et-de-la-biodiversite

WWF Suisse :
https://www.wwf.ch/fr

Greenpeace Suisse :
https://www.greenpeace.ch/fr/

https://planethumus.com  et  https://agrihumus.com

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Recherche suisse PNR68 :
http://www.pnr68.ch/fr/projets/synteses-thematiques/sol-et-environnement

Institut de recherche en agriculture biologique (FiBL) :
https://www.fibl.org/fr/page-accueil.html

Initiative internationale 4 pour 1000 carbone :
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ASSOCIATION FRANÇAISE d’AGROFORESTERIE :

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Aînées pour la protection du climat :
https://ainees-climat.ch

Accord de Paris, climat, biodiversité. Agriculture, parlements ?

Accord de Paris, climat, biodiversité. Agriculture, parlements ?

Certains affirment que l’écologie « résulte  de dogmes »…. Ces propos émanent de gens très conservateurs, trop matérialistes, polarisés sur le court terme, sur des habitudes anciennes difficiles à changer (ce qui est compréhensible). Axés sur le PNB, la biosphère n’existe pas. Beaucoup d’agro-économistes n’intègrent ni long terme, ni biodiversité, ni humus – sols vivants, ni érosion des sols /désertification : valeur  financière, zéro.

Or, l’écologie est une véritable science universitaire. La science des sciences ! ! L’écologie n’est  pas un parti politique. Mais ces connaissances scientifiques concernent tous les partis ! Bernard K. Martin

Climat – carbone : agriculture, énergies fossiles et / ou renouvelables, gaz à effets de serre. Industries, marchands, système économique : complexité parlementaire (en Suisse)

« L’Edito » intéressant de Fabian Muhieddine, Rédacteur en chef adjoint de « Le Matin Dimanche » Genève en date du 11 août 2019, page 2 :

« Pudibonderie face au CO2 »

Quelques extraits significatifs :

  • « Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) a rendu jeudi son rapport spécial sur l’impact du changement climatique sur les terres. Le message ? Il faut repenser notre agriculture et notre alimentation. »
  • « Dès la semaine prochaine, tous les regards se tourneront vers une commission : celle des Etats qui planche sur la future loi sur le CO2. Les sénateurs ont décrété le secret le plus strict sur ce dossier. »
  • « Face aux événements de Lausanne et de Genève qui ont retenti comme des coups de semonce à travers le monde, le secret absolu de la Commission des Etats résonne comme de la pudibonderie. »
  • « Alors que la planète se penche sur la question climatique, eux exigent le huis clos comme s’il y avait encore des tabous, des pistes qu’il faudrait explorer en chuchotant de peur de heurter la sensibilité d’on ne sait qui. »
  • « Or le Parlement doit mettre en musique l’Accord de Paris. »

Suite en page 5, point de vue très professionnel d’Adèle Thorens, conseillère nationale (Verts/Vaud – Suisse) :

  • « Je peux comprendre que les sénateurs veuillent se protéger. Les attentes de la population sont si importants, qu’ils n’ont pas le choix, ils doivent arriver à un résultat« .

Pour lire l’article de la page 5, cliquez ici

« Edito » de Fabian Muhieddine, Rédacteur en chef adjoint de « Le Matin Dimanche » Genève, en date du 11 août 2019 :

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Commentaires de Bernard K. Martin :

Un gigantesque chambardement !

D’énormes bouleversements mondiaux vont révolutionner d’innombrables industries, activités, produits, services, enseignements, formations, sociétés, agriculture(s), foresteries, enjeux internationaux, ressources énergétiques – alimentaires – hydriques, comportements individuels, consommation,  etc.

L’agriculture industrielle conventionnelle (dite chimique) largement en question

Par exemple, remettre en question l’agriculture conventionnelle constitue l’un des importants secteurs « humus et sols vivants – climat – biodiversité – eau – érosion / désertification – économie – énergie – alimentation – santé » concernés. Car après des décennies de surexploitation, de désertification des sols, d’empoisonnements des terres agricoles (et de l’eau), le bilan global agricole et écologique est catastrophique ! Exceptions : les techniques agro-écologiques, l’agriculture biologique, l’agroforesterie, par exemple.

La Commission du Conseil des Etats aborde-t-elle ces aspects ?

« TABOUS »

  • Outre le CO2, il est aussi question d’autres émissions gazeux agricoles, accélérant le réchauffement climatique ( méthane, oxydes d’azote…. De nombreux travaux agricoles nuisent aux sols agricoles,  labours excessifs et trop profonds, hyper-mécanisation créant « semelles imperméables » et asphyxie des terres. Carences de matières organiques restituées à la terre, de compost et fumiers aérobies.
  • Pesticides et engrais de synthèse se surajoutent aux problèmes, dégradations sols, humus, biodiversité, tous paramètres participent indirectement aux émissions de gaz perturbant les équilibres atmosphériques et le cycle de l’eau.
  • Accord de Paris 2015 : la Suisse n’adhère pas encore à l’Initiative internationale « 4 pour mille » (carbone), voilà un scandale qui fera date ! Car les multiples problèmes et causes abordés ici sont connus depuis plus de 20 ans ! !

« PISTES »

En termes d’agriculture, pédologie (science du sol), biologie, botanique, microbiologie, plantations d’arbres (Suisse, Europe,Planète), extrême importance « photosynthèse – humification – sol vraiment vivant » :

  • Agriculture biologique
  • Biodynamie
  • Agro-écologie
  • Agroforesterie
  • Permaculture
  • Réhabilitation de territoires dégradés par nos ancêtres

 

Quand allons-nous en entendre parler de la part de nos Elus ?

Et passer aux actes, à grande échelle ?

 

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Informations complémentaires :

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Initiative internationale 4 pour 1000 carbone :
https://www.4p1000.org/fr

ASSOCIATION FRANÇAISE d’AGROFORESTERIE :
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Article agroforesterie suisse dans magazine Agrihebdo :
https://www.agrihebdo.ch/agroforesterie

Alliance Climatique suisse :
http://www.alliance-climatique.ch/bns

Grands-parents pour le climat :
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Initiative pour les glaciers :
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Enjeux climat – eau – sols : les vers de terre aussi pour la fertilité, l’agriculture

Enjeux climat – eau – sols : les vers de terre aussi pour la fertilité, l’agriculture

Vers de terre : « animal » essentiel pour la biosphère et l’agriculture

Terres vivantes, eau et climat (cycle carbone), durabilité, sécurité alimentaire et forêts

Vers de terre : une des innombrables espèces vivant dans les sols forestiers, agricoles, prairies, savanes… Une catégorie de la vaste biodiversité au sein de la terre, sous nos pieds… Treize familles, plus de 6000 espèces de vers de terre, décrites ! Elles se partagent divers horizons, des premiers centimètres du sol et jusqu’à de respectables profondeurs.

Interdépendance des êtres peuplant le monde dynamique entretenant la terre fertile et durable : des enzymes aux bactéries, des mycorhizes (champignons microscopiques) aux fourmis, collemboles, cloportes, etc., l’immense et nombreuse biodiversité du sol compte — presque au centre du « système sol vivant » , tel l’abeille si importante parmi les insectes pollinisateurs — le ver de terre.

Ce lombric, en interaction avec la faune et la flore du sol, se situe au coeur des grands échanges biochimiques.

Consommation — digestion de végétaux, micro-organismes, invertébrés, terre –, mélanges avec le sol qu’il creuse, il amorce la formation des humus en y associant les argiles. Un acteur important de la porosité du sol : par la création d’innombrables tunnels, il favorise la circulation de l’air et de l’eau sous terre. Ainsi, son activité contribue largement à la fertilité (complexe argile-humus, pénétration de l’azote atmosphérique, etc.), à la fixation de carbone provenant de l’atmosphère (via photosynthèse végétale).

Hélas depuis plusieurs décennies, le ver de terre et l’ensemble des organismes du sol subissent des atteintes graves par des pesticides de synthèse, des engrais solubles – dits chimiques -, des travaux du sol et labours excessifs (mécanisation outrancière) ; et des carences en retours de matières organiques (exemples : bons fumiers aérobies, composts aérobies, BRF – Bois Raméaux Fragmentés, résidus de cultures — dont pailles…). Ainsi, de l’ordre de la moitié des humus et des organismes des sols agricoles ont disparu.

REPONSES INCONTOURNABLES : agriculture biologique, agro-foresterie, permaculture, biodynamie, compostage, prairies permanentes, cultures associées dont légumineuses, BRF – Bois Raméaux Fragmentés et rotations de 6 à 10 cultures différentes.
Constituent des solutions de base.

Cliquez sur l’image ci-dessous pour ouvrir l’article au format PDF, présentant le remarquable ouvrage de l’agronome Christophe Gatineau :

Dans cette approche du ver de terre, pilier du sol vivant et de la biosphère, l’article du Matin Dimanche présente l’excellent livre de Christophe Gatineau :

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Flammarion | Payot

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Sol vivant, fertilité, paysages, biodiversité, climat : du nouveau !

Sol vivant, fertilité, paysages, biodiversité, climat : du nouveau !

Base des couverts végétaux, des forêts, des régulations climatiques, de la biodiversité et de l’agriculture : le sol vivant est particulièrement déterminé par les organismes qui s’y développent, par ses humus et ses argiles. En interaction avec les plantes. Et par ses innombrables processus biochimiques. Les importants cycles planétaires dits « bio-géochimiques  » : carbone – azote – eau /H2O …) en constituent des fondements majeurs. 

Un ouvrage académique majeur approfondit cette complexité :

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Admirer, observer des paysages : un immense bonheur. Ils résultent en particulier de leurs sols, humus, organismes sur/sous terre, développement des flores et faunes…, de la nature, des types de territoires, de leurs roches mères.

Les paysages ont une histoire, déterminée en grande partie par les activités humaines : agricoles, forestières, urbaines, industrielles. La biosphère, avec ou sans Homo Sapiens, s’exprime par les paysages. Et via le climat, en interactions.

Les paysages résultent aussi des oeuvres créatrices ou des destructions par les civilisations successives depuis des millénaires. Ces observations suggèrent des mesures à décider pour le futur, dans la perspective de rétablir des équilibres écologiques. En pensant à l’avenir de nos enfants et petits-enfants.

 Ce livre bien documenté scientifiquement permet de comprendre l’évolution des paysages, des sols et de leurs usages : 

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Le Matin Dimanche du 2 juin 2019 présente brillamment, en partie, les thèmes de ces ouvrages :

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CLIMAT. Carbone. Créons de l’humus, propose un député bernois

CLIMAT. Carbone. Créons de l’humus, propose un député bernois

Photosynthèse –-> plantes –> carbone –> faune –> sol –> humus –> biodiversité


La chlorophylle et les microbes, parmi les fondements de la BIODIVERSITE, fabriquent énormément de matières organiques (flore, faune). 
Dont arbres, prairies, racines, etc, … . Soit beaucoup de CARBONE. Cet ensemble co-détermine les cycles élémentaux : carbone, azote, eau / H2O, circulant autour de la Terre, et au sein de la biosphère. 

La formation d’HUMUS du sol résulte des retours organiques à la terre après leur décomposition, soit encore beaucoup de carbone. Humus qui s’élabore sur et dans la terre, laquelle est vivante, fertile, riche en micro-organismes, invertébrés, enzymes…

Régulation du climat.

Un élu bernois propose de stocker du carbone grâce à l’humus des sols

« Le Député Daniel Lehmann appelle donc la Confédération à sensibiliser les paysans et à leur fournir les moyens nécessaires, notamment en réorientant des subventions agraires en faveur de cette méthode. Car, selon lui, il est possible de retenir 30 tonnes de CO2 par hectare cultivé. » Extrait d’article / interview RTS – Emission « Vacarme ». Cliquez ci-dessous pour accéder à l’interview de RTS, comprenant les explications du Professeur Pascal BOIVIN, Ingénieur agronome, pédologue (spécialiste des sciences du sol) à la HEPIA – Genève :

https://www.rts.ch/info/regions/berne/10364353-stockons-le-co2-dans-les-pres-grace-a-l-humus-propose-un-elu-bernois.html

AUDIO (durée : 25’39 ») : cliquez ici

L’article de LE MATIN DIMANCHE (14 avril 2019) présente la proposition du Député Daniel Lehmann :

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CLIMAT – SOLS – MORTALITE DES ARBRES

CLIMAT – SOLS – MORTALITE DES ARBRES

Dépérissement des arbres

Exemple : les SEQUOIAS

 

Faute au climat ? Peut-être… Chercher un remède (toujours tuer un « pathogène » avec des pesticides) ?

En tous cas, bravo à M. Pierre-Yves Bovigny de la HEPIA – Genève !

Il met le doigt sur l’IMMUNOLOGIE, donnée fondamentale, tant pour les végétaux, les animaux et l’être humain.

En épandant un mélange de broyat de branches sous les séquoias, participant à la REGENERATION du sol, à la formation de l’humus : il redonne une vitalité à la terre, à ses organismes vivants (vers de terre, fourmis, collemboles, microorganismes, enzymes, etc.). Donc des possibilités pour l’arbre de retrouver de bonnes conditions nutritives et de santé. De nombreuses expériences scientifiques ont démontré l’efficacité de cette technique simple.

ET BRAVO AUSSI AU CRI D’ALARME LANCE PAR 24HEURES CI-DESSOUS :

Et pensons à d’autres espèces végétales « victimes » d’agents pathogènes, dont la cause est souvent due à l’appauvrissement, l’empoisonnement des sols qui souffrent de carences ou de polluants d’origine humaine. Exemples de polluants : entre autres les oxydes d’azote provenant des émissions de l’agriculture et de la circulation automobile, partant dans l’atmosphère.

Par ailleurs ces oxydes d’azote (parmi de nombreux autres polluants) nuisent à beaucoup de forêts dont terre et biodiversité subissent des dommages graves. La lente diminution des humus constatée dans certaines forêts est plus que frappante : il s’agit d’une scandaleuse destruction de la biosphère ! De surcroît ces humus forestiers minéralisés par l’excès d’azote migrent sous forme gazeuse (CO2) dans l’atmosphère…


INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES :

– Concernant des techniques simples face aux maladies ou affaiblissement des arbres, outre le « broyat » de branches (BRF – Bois Raméaux Fragmentés) appliqué en surface du sol sous l’arbre, des composts et fumiers pailleux s’avèrent aussi utiles voire salutaires.

– Deux ouvrages essentiels abordent la remarquable efficacité des BRF – Bois Raméaux Fragmentés, ainsi que d’autres moyens d’action pour régénérer la terre. Cliquez ci-dessous pour en agrandir la lisibilité :

 

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CLIMAT – Arbres : survie des sols agricoles ? (région Trois-Lacs, Suisse)

CLIMAT – Arbres : survie des sols agricoles ? (région Trois-Lacs, Suisse)

1. Lente désertification de sols agricoles Plaine de l’Orbe et Seeland (Suisse)

2. « Il replante des arbres pour le bien-être de ses vaches » et pour améliorer ses terres en Mayenne (France)

La Plaine de l’Orbe et le Seeland, jadis naturellement fertiles et riches en biodiversité, se désertifient progressivement. Article d’AGRI du 25 janvier 2019 (cliquez ici ou sur l’article ci-dessous pour lire le PDF) :

Hebdomadaire professionnel agricole de la Suisse Romande
CLIMAT – SECHERESSES – AGRICULTURE

Seeland et Plaine de l’Orbe, mêmes scandales !

A force d’engrais chimiques (solubles) surtout d’azote, de pesticides, de monocultures, de labours excessifs, de terres à nu, de carences en retours organiques nourriciers (surtout en carbone / humus long terme) pour les sols agricoles, d’arracher haies et arbres : des territoires entiers se transforment lentement en déserts. EFFONDREMENT connu depuis quelques décennies mais les majorités politiques et gouvernementales servent d’autres intérêts…

ET POURTANT FACE A CES DESTRUCTIONS DE SOLS AGRICOLES, D’INNOMBRABLES REALISATIONS ET SOLUTIONS AGRO-ECOLOGIQUES SONT CONNUES DEPUIS DES DECENNIES

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Un exemple extraordinaire de cet agriculteur « bio » en Mayenne (France) qui plante 1000 arbres fruitiers associés aux grandes cultures et prairies pour son élevage, ses sols et la diversification de son exploitation :

« Il replante des arbres pour le bien-être de ses vaches »

« En Mayenne, avant de transmettre à son fils son exploitation sur laquelle il élève des vaches en bio, un éleveur décide de planter plus de 1000 arbres. L’objectif est de revenir à des pratiques agricoles traditionnelles, les arbres serviront notamment à protéger les troupeaux du soleil et de la chaleur. Ce reportage de France3 sur la redécouverte de techniques paysannes rappelle aussi qu’elles participent au retour de la biodiversité dans les régions rurales tout en étant un moyen de s’adapter au changement climatique. » Extrait du site magazine GOODPLANET INFO du 21 janvier 2019


Commentaire de l’équipe de Planethumus.com :

Planter 1000 arbres sur un domaine (bio) afin de diversifier les productions et améliorer les conditions environnementales globales !

Magnifique, cette remarquable réalisation agricole en Mayenne (France) ! Beau mais immense travail. Une opération d’avenir associant arbres, grandes cultures, élevage, concept qui s’inscrit dans les nouvelles politiques de transitions agro-énergétiques.

Tous gagnants : climat, eau, humus, carbone, biodiversité, polycultures agro-sylvestres, arbres fruitiers, animaux d’élevage, lutte contre l’érosion, santé des végétaux et animaux, sécurité alimentaire…

Informations complémentaires :

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Projet politique AGRICULTURE – CLIMAT pourtant accepté au Grand Conseil vaudois – Suisse (en 2007) :

Postulat Sol-plante-eau-AGRICULTURE – CLIMAT – marché carbone 2007 (pdf)

Annexe 1) au postulat : AGRICULTURE – CLIMAT : quelques références scientifiques (pdf)

Annexe 2) au postulat : AGRICULTURE – CLIMAT : schéma et synthèse :  

https://agrihumus.com/wp-content/uploads/2019/02/Une-bonne-terre-fertile.pdf


Rapport de minorité de la commission :
 Commission carbone climat agriculture rapport de minorité (pdf)

 

Depuis des millénaires, l’Homme désertifie les sols, modifiant le climat

Depuis des millénaires, l’Homme désertifie les sols, modifiant le climat

La moitié des terres fertiles du globe  transformées en désert par l’Homme (sources ONU, PNUE, FAO)

10000 ans de destruction des couverts végétaux (dont forêts), de la biodiversité, de sols fertiles

INTRODUCTION : RESUME DES FONDEMENTS DE LA BIOSPHERE

Sur nos continents, la photosynthèse (couverts végétaux, surtout arbres) transforme du carbone atmosphérique en matières organiques – herbes, buissons, feuilles, branches, troncs, racines… – lesquelles sont consommées par la faune qui restitue des matières à la terre, après digestion.

Ces retours organiques au sol sont sources de l’élaboration des humus, grâce aux organismes (vers de terre, fourmis, collemboles, micro-organismes, algues, enzymes, etc.). Ces faune et flore vivant sous nos pieds participent à l’alliance des argiles avec les humus : le « complexe argilo-humique », fondement de la fertilité, base de l’existence de la biosphère, de nos ressources alimentaires et des « cycles planétaires carbone – eau (H2O) – azote ».

Conférence (diaporama) du Professeur
Jean-Michel Gobat (Université de Neuchâtel)
« Le fonctionnement du sol vivant, fertile, durable, multifonctionnel » (cliquez ci-dessous)

Pour télécharger ce diaporama en PDF, cliquez sur la photo ci-dessous :

Ces lois élémentaires de la Nature sont maintenant connues. Elles ne l’étaient pas il y a des millénaires.

LA PLUPART DES DESERTS ONT ETE PROGRESSIVEMENT CREES PAR L’HOMME, MODIFIANT LE CLIMAT

Il y a environ 10 à 12000 ans, nos lointains ancêtres commencèrent à cultiver la terre, à élever les premiers animaux domestiques. Ils inventèrent la charrue, la corde, les clôtures. De nomades, ils se fixèrent, créant des villages et des villes. Bien auparavant ils utilisaient déjà le feu et les objets tranchants. Au fil du temp, ces nouveaux outils, « techniques », modes de vie et  comportements modifièrent leur environnement.

De plus, hélas, ils ne connaissaient pas l’importance des retours organiques pour nourrir le sol, ni la nécessité de couvrir le sol labouré avec des litières pour le protéger des éléments : soleil, vents, pluies.

Une vaste et lente destruction de la biosphère, sur les territoires où vivait l’Homme, surtout depuis 5 à 6000 ans, s’étendit car de grandes civilisations se succédèrent.

Les populations devenaient de plus en plus nombreuses. Ainsi de la Chine au Maghreb, passant par l’Inde, la Mésopotamie, l’Arabie, le Sahara, le pourtour méditerranéen, le recul des forêts, des humus, de la biodiversité transforma progressivement des territoires jadis verdoyants en sols arides et désertiques.

Non pas une fatalité, mais bien suite aux comportements humains inadaptés à l’entretien de leur environnement nourricier.

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CONCLUSION, TRANSITION AGRO-ENERGETIQUE

A l’heure actuelle, le réchauffement climatique, la nécessité d’une sécurité alimentaire et en eau, la protection des espèces, la prévention des exodes et migrations,  demandent une urgence ! Entre autres mesures :

UN PLAN MARSHALL !

Développer dans les priorités :

« PHOTOSYNTHESE VEGETALE – HUMIFICATION (FORMATION D’HUMUS) »

ETAT DE VAUD : ASSISES « CLIMAT », 12.11.2018 – EPFL

ETAT DE VAUD : ASSISES « CLIMAT », 12.11.2018 – EPFL

(Voir notre Newsletter du 7.11.18 sur ce thème)

Ridicule la 1ère des « Assises vaudoises CLIMAT » ?

Commentaire de Bernard K. Martin

Pourtant Ô combien remarquable cette réalisation, novatrice, qui voit le jour dans le Canton de Vaud !

Bravo à Mme la Conseillère d’Etat, Madame Jacqueline de Quattro ! Et à son Département du Territoire et de l’Environnement (DTE) ! Des créateurs osent initier des progrès, souvent isolés pourtant essentiels localement pour devenir universels au plan mondial car incontournables.

Ce type d’alerte « CLIMAT » commença à naître depuis quelques décennies déjà. Et récemment par exemple dès le Traité de Paris 2015 et COP21, l’Initiative mondiale « 4 pour 1000 » comporte des documents et dispositions s’inscrivant dans la Transition agro-énergétique internationale.

Suite à cette 1ère « Assises vaudoises CLIMAT » à l’EPFL, 24 heures dans son article du 13.11.2018 semble oublier de relater les aspects fondamentaux liés aux « RESSOURCES NATURELLES » abordés par le Professeur Pascal BOIVIN, agronome et pédologue à la HEPIA (Genève). Voici donc un complément d’information au sujet du Pr. Pascal Boivin paru dans Le Matin Dimanche du 7 octobre 2018 (cliquez sur l’image ci-dessous pour agrandir l’article complet) :

Il faut bien constater que beaucoup d’institutions agricoles (vaudoises notamment) expriment un silence assourdissant sur les thèmes « Interactions Sol vivant – agriculture – humus – carbone – azote – fertilité – eau – climat -énergie » ! Douloureux, difficile pour beaucoup de milieux agricoles (officiels et industries agro-chimiques surtout) de reconnaître les déséquilibres majeurs engendrés par les sols agricoles depuis les années 1970 : gigantesques émissions de CO2, oxydes d’azote, méthane par exemple.

Les principaux cycles biogéochimiques élémentaires sur notre Planète (carbone, azote, H2O dont eau et oxygène) : « inconnus » de beaucoup d’institutions agricoles ?

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Article 24heures du 12.11.2018 par Sylvain Muller :

Pourquoi les Assises vaudoises du climat n’étaient pas ridicules

Environnement Face aux lenteurs des accords internationaux, l’échelon local est désormais privilégié pour lutter contre le réchauffement climatique.

22.10.2018 Lac de Bret suite au manque d’eau depuis des mois la sécheresse a fait baisser le niveau du lac de Bret de plusieurs mètres. Photo: Patrick Martin / 24 Heures

Après un été particulièrement sec, les berges du lac de Bret présentent cet automne un visage inhabituel, probablement annonciateur des effets réguliers du réchauffement climatique Image: PATRICK MARTIN

Les images des torrents d’eau dévalant les rues lausannoises en juin dernier et celles du lac de Bret à sec trois mois plus tard ne pouvaient mieux illustrer l’urgence d’agir en matière de réchauffement climatique. Mais malgré ce contexte d’événements à la fois spectaculaires et locaux, le projet de Jacqueline de Quattro d’organiser les 1res Assises vaudoises du climat a été fraîchement accueilli par certaines personnes de son entourage. «Tu vas te ridiculiser. C’est un problème mondial», a entendu la conseillère d’État en charge de l’environnement.

Quelques-uns des orateurs présents lundi au SwissTech Convention Center à Écublens ont confirmé l’échelle planétaire du phénomène. «L’essentiel du problème est lié à deux facteurs: l’accroissement de la population mondiale et l’évolution vers un régime alimentaire plus carné», a par exemple rappelé Jean-Marc Jancovici, ingénieur et vulgarisateur français ayant notamment publié «Le réchauffement climatique expliqué à ma fille» (Le Seuil 2016).

Malheureusement, les décisions et engagements à l’échelle mondiale peinent à aboutir. Selon une récente étude citée par une oratrice, sur les 197 pays signataires des Accords de Paris, seuls 16 se sont dotés d’instruments pour atteindre les objectifs fixés.

Actions au niveau local

«C’est pour cela que nous privilégions désormais une nouvelle approche», a expliqué Géraldine Pflieger, directrice de l’Institut des Sciences de l’Environnement à l’Université de Genève. «Plutôt que d’attendre les résultats d’hypothétiques actions internationales, nous additionnons les initiatives locales. Car c’est finalement à ce niveau que se trouvent les compétences pour agir concrètement.»

Or, en matière de réalisations concrètes, beaucoup de commandes sont entre les mains des Cantons. «Ils sont notamment les principaux acteurs dans les secteurs de la mobilité et des bâtiments, a rappelé Océane Dayer, fondatrice de l’association Swiss Youth for Climate. À ce titre, ils peuvent mettre en place le cadre institutionnel favorisant l’action des citoyens.» Et de citer la loi sur l’énergie de Bâle-Ville qui favorise fortement l’installation de chauffage fonctionnant aux énergies renouvelables ou les différents encouragements à la mobilité électrique.

Professeur en durabilité et anthropologie économique à l’Université de Lausanne, Christian Arnsperger a poussé le bouchon plus loin: «Le Canton doit faciliter la construction d’installations de production d’énergie citoyennes (ndlr: par des Communes ou des collectifs de citoyens). Il doit aussi faciliter la création de groupements citoyens expérimentant des modes de vies alternatifs.»

Plan climat à établir

Toutes ses propositions ont ravi l’initiatrice de ces premières assises, Jacqueline de Quattro, qui ne s’est donc pas ridiculisée. «J’ai senti dans la salle une envie, une volonté de joindre tous les efforts pour aller de l’avant. Face à l’ampleur du défi, il ne s’agit pas de tout arrêter, mais de gérer l’urgence. Désormais, nous devrons avoir à l’esprit dans tous les projets leurs effets sur la gestion des ressources, leur bilan carbone ou leur impact environnemental.»

Les propositions de mesures formulées durant ces premières Assises vaudoises de l’environnement (lire en encadré) vont maintenant être intégrées au Plan climat vaudois que le Conseil d’État prévoit de présenter dans une année. (24 heures)

Pistes de réflexion (encadré)

Quelques-unes de propositions formulées lundi à Écublens par les orateurs et participants des premières Assises vaudoises du climat:

Créer : un pôle interdisciplinaire vaudois de recherches sur le climat

Organiser : des Conversations carbone, ces ateliers d’échange entre citoyens imaginés en Grande-Bretagne

Interdire : les chauffages à énergie fossile dans les nouveaux bâtiments ou les projets de rénovations

Mettre : en place sur tous les biens de consommation des étiquettes carbone inspirée des étiquettes énergétiques

Réfléchir : au bilan carbone de ses propres activités et adapter son comportement en conséquence

Inventer : un système monétaire qui n’est pas basé sur la croissance, comme avait commencé à l’imaginer l’économiste Richard Douthwaite (1942-2011)

Installer : des systèmes d’épargne citoyennes pour financer les projets favorables à l’environnement

Questionner : les candidats lors d’élections sur leurs engagements en faveur du climat et élire en conséquence

Soutenir : financièrement les programmes de gestion de la natalité dans les pays en voie de développement

Exempter : temporairement d’impôts les entreprises prenant des mesures pour diminuer leur bilan carbone

Vers l’article de 24heures

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Un autre complément d’informations, en lien avec le climat et l’eau :

Présentation du Pr. Dr Pascal Boivin
Ingénieur agronome, pédologue
HESSO Genève et Lullier

6ème Colloque Sol-plante-climat-énergie-eau

HES – Bienne / 14 novembre 2013

“Humus – Biologie du sol – Cycle de l’Eau”

(Cliquez ci-dessous pour ouvrir le diaporama en PDF)

SOL VIVANT-AGRICULTURE-VEGETAL-CLIMAT : scientifiques PNR68 convergent !

SOL VIVANT-AGRICULTURE-VEGETAL-CLIMAT : scientifiques PNR68 convergent !

Extrême importance « Agro-écologie / Forêts / Couverts végétaux / Biodiversité »

Interactions « Sol vivant – humus – carbone – argiles – eau -azote – fertilité – végétaux (photosynthèse) – climat »

En d’autres termes, les cycles bio-géochimiques planétaires, reconnus, sont à respecter (sans les perturber) grâce aux approches écologiques agricoles, forestières, industrielles, aménagements des territoires ; à mettre en pratique sur le terrain. Il s’agit des principaux cycles fondamentaux des éléments circulant dans et autour de notre Planète Terre :

carbone, azote, eau /H2O dont hydrogène et oxygène.

Photosynthèse végétale (formation de matières organiques) et humification (formation des humus du sol) constituent des processus parmi les plus essentiels sur les continents, grâce au soleil. De puissants processus naturels en termes de climat, ressources énergétiques et de sécurité alimentaire – si on les respecte.

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Le Programme national suisse de recherche PNR 68, suite à  la collaboration des nombreux scientifiques pluridisciplinaires, a communiqué les cinq synthèses thématiques concernant cette vaste approche globale. Ces synthèses sont disponibles en cliquant ici

Quelques extraits :

« Les cinq synthèses thématiques (ST) du PNR 68 résultent d’un dialogue intense entre les chercheurs et les représentants de la pratique. Elles s’adressent à un public spécialisé et fournissent des réponses aux problématiques actuelles sur la manière de traiter le sol dans différents domaines politiques. »

« Enfin, la ST5 Plateforme d’informations des sols Suisse (PIS-CH) identifie les champs d’action dans les nombreux domaines politiques qui peuvent mener à traiter le sol en tant que ressource de façon durable. »

Les cinq synthèses thématiques, accessibles chacune indépendamment en cliquant ci-dessous  :

L’ensemble des synthèses thématiques PNR 68 sont disponibles en cliquant ici

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Une remarquable approche globale (systémique) écologique qui va transformer la Suisse et le monde, dans le droit-fil du Traité de Paris, de COP21 (2015) et des COP suivantes. Dès 2015 il en a résulté l’Initiative internationale 4 pour 1000 de carbone (sols, arbres et végétaux) disponible en cliquant ici

Voir les informations complémentaires sur planethumus.com

 

Par ailleurs, déjà en 2008,  la remarquable présentation ci-dessous (diaporama accompagnant l’exposé de Gerhard Hasinger, Ingénieur agronome, pionnier et spécialiste en BIO), appuie les approches agricoles écologiques en lien avec l’agriculture, la Biosphère, le carbone et le climat. Ce fut à Sainte-Croix (Suisse) l’un de nos 7 colloques pluridisciplinaires annuels sur le large thème « INTERACTIONS Sol-humus-fertilité-plante-agriculture-climat » :


Les autres colloques pluridisciplinaires annuels relatifs à ce vaste thème sont visibles et téléchargeables en cliquant ici (conférences 2008 à 2012 / conférence 2013 : 1) conférence Prof. Ernest Zürcher  2) conférence Prof. Pascal Boivin)